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Affichage des articles du avril, 2017

LA FIABILITE D'UNE INFORMATION PAR UN FACT-CHECKING

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Fact-Checking – Fiabilité- Journalisme La fiabilité d’une information assurée par un fact-checking                                                                  26 avril 2017- 15h40mn crédit photo: Badé seckk CESTI - 26 avril- (Dakar) Le fondateur d’Afica-Check et ses collaborateurs ont expliqué aux étudiants du Centre d’Etude des Sciences et Techniques de l’Information (CESTI) ce qu’est le fact-checking lors d’un carrefour d’actualité organisé ce mercredi  à l’institut. M. Peter Cunliffe Jones a expliqué aux étudiants ce qu’est le fact-checking. Il affirme «  le fact-checking c’est la vérification de la fiabilité d’un fait à travers des investigations journalistiques ». C’était lors d’un carrefour d’actualité au Centre d’Etude des Sciences et Techniques de l’Information (CESTI) tenu ce mercredi à la case foyer de l’école. Il précise « les sujets soumis au Fact-Checking sont ceux qui impactent sur le développement socio-économique ». Il n’a pas manqué de rev

Les lois qui régissent les industries extractives revues par la société civile

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El Hadji Abdoulaye Seck, membre de la Société Civile et du collectif " Publiez ce que vous payez" section Sénégal et Thialy Faye de la Société Civile ont tenu un carrefour d'actualité ce mercredi au Centre d'Etudes des Sciences  et Techniques de l'Information (CESTI). Ils se sont exprimés sur le thème " les initiatives de la société civile pour la transparence des industries extractives" Le Sénégal est candidat depuis 2013 à l’initiative pour la transparence dans les ressources extractives (ITIE). Ceci étant, il doit publier tous les contrats, les gains de ses activités en travaillant avec la société civile et les entreprises. Toutefois, M. Seck avance que l’Etat du Sénégal est loin de respecter les engagements qu’il a pris puisque eux, société civile, n’ont pas toutes les informations sur les exploitations pétrolières au Sénégal. « L’Etat du Sénégal doit respecter la chaine des valeurs dans l’exploitation des énergies extractives. D’abord, une

A Keur Massar, le tapage est diurne et nocture.

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crédit photo: waawfiche Pas moyen de fermer l’œil le jour, la nuit c’est encore pire à Keur Massar. Dans cette zone, la pollution sonore inquiète plus d’un. Elle perturbe la quiétude des habitants, parfois complices. Si ce ne sont des simbs [1] , ce sont des opérations de set-setal [2] ou encore le, plus souvent des chants religieux qui finissent d’exaspérer les keur-massarois. La nuit du vendredi 07 avril au samedi 08 avril est encore marquée par la sempiternelle série de « cérémonies religieuses ». Avec des battements de tambours et des chants à peine audibles, les soi-disant baye-faal [3] hantent le sommeil des habitants. Plus loin dans le temps, ces réunions ou dahiras se tenaient tous les soirs du jeudi et parfois vendredi. Dans ces rencontres, les gens apprenaient les rudiments de leur religion. Mais maintenant, ces rencontres se tiennent du lundi au dimanche, du matin au soir et de surcroît avec des haut-parleurs à forte expansion. Et pourtant, dans la religion, il e